Sitôt,
d'une part, que la textique vise
à établir une théorie
unifiée des structures de l'écrit
dans ses divers modes (schémique,
grammique, iconique, symbolique), ce
qui la voue à une exhaustivité contrôlée
sur un domaine immense, et sitôt,
d'autre part, que ses premiers efforts,
comme tels, datent du milieu des années
quatre-vingt, nul doute qu'à l'orée
du prochain séminaire, comme pour les années
précédentes, se posent deux problèmes.
Celui de l'initiation,
qui concerne les participants nouveaux
qu'une curiosité intellectuelle aura
porté à venir pour la première
fois, car il est nécessaire pour bien
saisir la pensée textique,
voire pour y concourir, d'être mis
en possession, aussi soigneusement que possible,
de la méthode et des enjeux.
Celui de la révision,
qui concerne les participants habitués,
voire chevronnés, car
il est opportun, avant ces journées
de réflexion intensive, de se remettre
en tête, soigneusement, les grandes
lignes du travail.
Cette initiation et cette révision
se feront en trois phases à partir, notamment,
des fascicules remis à jour pour 2008
: Un aperçu de la textique
par Gilles Tronchet, et Unification
fondamentale de l'écrit par
Jean Ricardou.
La première phase relève
de la lecture: les deux fascicules
étant expédiés,
avec d'autres écrits, dans le courant
de juin, les participants auront tout le loisir
qu'ils s'accorderont pour en prendre connaissance
à leur guise.
La deuxième phase ressortit
à la discussion: les deux premières
journées du séminaire
étant réservées
à de libres échanges oraux sur ces
deux fascicules, les participants auront
tout le loisir permis par les séances
pour solliciter les éclaircissements éventuellement
nécessaires, voire pour énoncer,
très librement, de premières
objections.
La troisième phase sollicite
des cyclos: en prélude à la séance
de certaines des après-midi, une heure sera
réservée, sous la responsabilité de Daniel
Bilous et Jean-Christophe Tournière, à une révision
systématique des concepts majeurs (JR).
Jean RICARDOU:
Unification fondamentale (évolution
2008)
Si la
textique peut
envisager, d'emblée, une
exhaustion des structures de l'écrit
quel soit-il, c'est qu'elle
procède par niveaux, du plus général
au très particulier, en offrant,
pour chacun d'eux, une
matrice d'établissement
sans reste. Ce sont alors deux choses
distinctes qui deviennent possibles. La première,
c'est, à tel niveau déterminé,
de ne point laisser la moindre zone d'ombre. La
deuxième, puisqu'il suffit de
montrer qu'une occurrence concevable n'est
pas incluse dans les matrices pour objecter, c'est
de programmer, à chaque niveau, une réfutation
éventuelle.
Le fascicule
Unification
fondamentale présente, notamment,
les deux plus générales
matrices d'exhaustion
textique,
avec leurs divers concepts associés:
la matrice modale et la matrice structurale.
+++
La
matrice modale est
d'allure arborescente.
D'abord un
tronc commun,
les
schèmes,
entendus comme "les zones déterminées, par
au moins un différentiel, dans le
champ qu'il implique".
Puis une
première
ramification, avec, d'une part,
les
grammes, ou "
schèmes capables
de représenter en ce que diversement liables
aux sons d'au moins une langue selon
certaines suites déterminées,
ils permettent, par le relais d'une accréditation
reçue, que s'ajoute,
pour un récepteur donné, une autre
idée à celles que l'on peut se faire
d'eux-mêmes", et, d'autre part, les
icônes
ou "
schèmes capables de
représenter en ce que, sans devoir être
liés aux sons d'une langue, ils comportent,
pour un récepteur envisagé,
au moins un caractère déterminant de
tel objet, ou type d'objet, concret ou abstrait, réel
ou fictif, vu sous quelque angle, et dont l'idée,
ainsi, s'ajoute à celle que l'on peut se
faire d'eux-mêmes".
Enfin, une
deuxième
ramification, avec les
symboles
ou "
schèmes capables de représenter
en ce qu'ils permettent, par le relais
d'au moins une accréditation, reçue
ou convenue, que s'ajoute, pour un récepteur
envisagé, une autre idée
à celles que l'on peut se faire d'eux-mêmes",
et qui, selon la base (
schémique, grammique,
iconique) sur laquelle ils s'appuient, forment
trois types (les
schémosymboles,
les
grammosymboles, les
iconosymboles).
L'
hypothèse de l'exhaustion
des modes présume lors qu'un
écrit, quel soit-il,
ne saurait jamais comporter d'autres
modes que le
schémoscrit, le
grammoscrit, l'
iconoscrit et,
sous ses trois variétés (le
symbolo(schémo)scrit,
le
symbolo(grammo)scrit, le
symbolo(icono)scrit),
le
symboloscrit.
+++
La
matrice structurale
(représentative) est
d'allure tabulaire.
Elle porte un couple principal
flanqué d'un couple associé.
Le
couple principal
est formé de l'
orthoreprésentation,
déclarée advenue
"chaque fois que des
schèmes
permettent
correctement que s'ajoute, pour
un récepteur donné, une autre
idée à celles que l'on peut se faire d'eux-mêmes,
si celle-ci semble convenir à
tel ou tel objet réel ou fictif,
concret ou abstrait", et de l'
orthométareprésentation,
déclarée advenue
"chaque fois que, de manière
organique, transparaissent,
au-delà
du régime représentatif,
les "moyens", matériels notamment,
qu'en son ordinaire fonctionnement l'
orthoreprésentation
à la fois requiert et estompe".
Le
couple associé
est formé de la
cacoreprésentation,
déclarée
advenue "chaque fois qu'un
effet d'
orthoreprésentation
se trouve engagé et entravé", et de la
cacométareprésentation
"chaque fois qu'un
effet d'orthométareprésentation
se trouve
engagé et entravé".
+++
L'
hypothèse de l'exhaustion
structurale (représentative) présume
lors que l'
écrit représentatif
ne se présente jamais sous d'autres
structures que celles de l'
écrit
orthoreprésentatif
(ou
orthoscript), de l'
écrit
cacoreprésentatif (ou
cacoscript),
de l'
écrit orthométareprésentatif
(ou
orthotexte), de l'écrit
cacométareprésentatif
(ou
cacotexte).
C'est à une explicitation
de ces catégories que
procède le fascicule
Unification
fondamentale de l'écrit, et
c'est à une élucidation de
tous
les écrits, quels soient-ils,
et dans leurs moindres aspects, que, à partir des
concepts plus pointus qu'impliquent ces deux matrices
(la
matrice modale et la
matrice
structurale) la
textique a
pour mission de procéder.
Proposant une simple présentation
de la
textique, ce fascicule est réactualisé
chaque année, de façon à prendre en compte les
acquis récents de la discipline ainsi
que les remarques ou objections faites par les participants
au séminaire antérieur. Il a une double
visée: d'abord, fournir un historique succinct,
pour montrer dans quelles conditions et selon quelles étapes
la
textique est apparue et s'est constituée
en une discipline nouvelle ; puis, offrir un exposé
des principaux concepts et outils d'analyse élaborés
jusqu'à présent.
Tout d'abord, comme la
textique
s'efforce d'établir une théorie
unifiée de l'écrit, il est indispensable
d'expliquer la très large portée
qu'elle donne à son objet, puis de préciser comment
il trouve à se spécifier selon différents
modes, permettant d'envisager, notamment,
les particularités des caractères alphabétiques,
des images et des symboles.
Ensuite, est retenu un domaine plus
restreint et sans nul doute familier à
tout lecteur, l'
écrit représentatif
relevant du
mode grammique: cela correspond,
quitte à simplifier un peu, aux écrits basés
sur des séries de lettres, associables
aux sonorités d'une langue et susceptibles, par
équivalence avec d'autres séries, de
faire surgir certaines idées (ainsi lorsqu'un
terme s'échange avec sa définition). Il s'agit
d'inventorier et d'expliciter les grandes catégories
capables d'appréhender exhaustivement les
structures possibles dans un
écrit grammique:
la
textique prétend y parvenir, en
l'attente d'une éventuelle démonstration
contraire, susceptible de relancer la recherche.
Enfin, il a semblé utile de signaler
quelques-uns des instruments analytiques
servant à explorer en détail les dispositifs
repérables dans un
écrit représentatif,
sachant que l'un des acquis majeurs de la
textique consiste
à distinguer, par rapport aux structures qui sont au service
de la représentation, celles qui outrepassent
un tel
régime, en imposant leurs contraintes
propres à la représentation, alors forcée
de s'adapter. C'est le cas par exemple avec les rimes classiques,
mais aussi avec beaucoup d'autres agencements irréductibles
à la logique représentative, qui relèvent
dès lors d'un
régime métareprésentatif.
On admettra toutefois qu'un simple aperçu
ne saurait dispenser à propos de la textique
davantage qu'une information initiale: une
approche théorique plus fouillée, débouchant
sur une pratique effective de la discipline,
exige de bien plus amples développements.
EXPLORATION :
Jean-Claude
RAILLON: Réflexion faite
On annonce sous ce titre une contribution en deux
parties.
La première s’efforcera d’accomplir l’analyse
d’un énoncé remarquable* selon le protocole textique des
écrits bizonés, lequel recommande de distinguer,
les alternant avec rigueur au fil de l’étude, les observations
rédigées dans le langage technique de la discipline
et les développements en style ordinaire.
La seconde partie commentera certains aspects de
la démarche.
*le dessinateur Phlippe Geluck prête à
son personnage Le Chat la réflexion suivante:
Jean RICARDOU: Le style transparallélique
Cette contribution s'efforcera, notamment, aux quatre gestes que voici:
- premièrement, interroger les problèmes, peut-être
inaperçus, que pose la notion de
parallélisme (telle
qu'elle est définie ordinairement et telle qu'elle est désignée
couramment);
-
deuxièmement, approfondir le rôle du spécial
couple relationnel concernant la
forme et la
position, dans
ce qui sera nommé le
transparallélisme;
-
troisièmement, saisir les diverses propriétés
de ce rôle selon qu'il s'applique, d'une part, aux
effets représentatifs,
et, d'autre part, que ceux-ci soient
matériels ou
idéels,
aux
"moyens" représentatifs;
- quatrièmement, faire saillir, en leur opposition, la paradoxale
stratégie de l'
écrit à effets représentatifs
dominants et la paradoxale stratégie de ce qui sera nommé
l'
écrit à effets représentatifs surdominants.
Jean-Christophe
TOURNIÈRE: Problèmes d'écriture
La présente communication abordera,
quant aux
façons d'écrire la théorie,
un couple de problèmes distincts.
D'une part, le problème suscité
par ce qu'il est loisible de nommer
intra-intitulation,
à savoir celui qui se pose dès lors qu'on sectionne un
écrit théorique en plusieurs portions et
que l'on avise, conjointement, d'offrir à celles-ci un
titre.
D'autre part, le problème suscité
par le déploiement d'une
terminologie spécifique,
à savoir celui qui se pose dès lors que, dans
un
écrit théorique, lequel est fait, issus du langage
commun, de vocables
ordinaires, on insère, issus de
règles spéciales, des vocables
néologiques.
Pour ce faire, l'on tâchera, avec
la
textique, batterie conceptuelle opportune, d'un
bord, de mobiliser, relatives à ces deux problèmes,
des occurrences venues d'
écrits théoriques
différents, et, d'un autre bord, de les confronter
afin de voir s'il n'y aurait point, lesquelles dégageraient
lors une
canonicité, des façons plus
opératoires
que d'autres.
Gilles TRONCHET:
A l'école de la réflexion (comment lire un écrit
théorique)
Un écrit théorique, étant
donné que sa démarche vise à un maximum de rigueur,
tend à suivre des règles d'agencement aussi conséquentes
que possible. Il aide ainsi le lecteur à se repérer
dans les analyses menées, tout en acquérant lui-même
des capacités de réflexion accrues. Pour ce faire,
la méthode intellectuelle se développe en intégrant
des contraintes matérielles d'exposition qui offrent des
points de repère à la lecture.
Cependant, la mise en œuvre de tels principes
n'élimine pas tous les obstacles capables d'entraver
la compréhension : la lecture se heurte à la complexité
de l'objet étudié comme aux minuties du raisonnement, qui
rendent l'accès d'autant plus ardu que l'on est novice
dans la discipline et peu entraîné au maniement de données
abstraites. Le déchiffrement s'avère plutôt
ardu lorsqu'il exige des opérations multiples en presque
simultanéité, surtout si des corrélations entre
les concepts requis obligent à maîtriser plusieurs pans
du domaine d'étude.
Il s'agira d'examiner quelques-uns de ces problèmes
à partir d'un exemple, le fascicule de Jean Ricardou, "Unification
Fondamentale", distribué aux participants du Séminaire
de Textique (c'est la version 2007, ou la version 2008 si celle-ci
est disponible à temps, qui sera prise en compte). Un tel
choix se fonde sur trois raisons: d'abord, ce document, développant
une théorie de l'écrit, manifeste un souci de
concrétiser les acquis de la discipline dans les procédures
qu'il mobilise ; ensuite, comme résultat d'une réélaboration
assidue au fil des années, il témoigne au plus haut
point d'un effort de cohérence et de précision dans
l'écriture théorique ; enfin, il paraît susceptible
de soulever à la lecture certaines difficultés que l'on
croit pouvoir lier à la rigueur même de ses agencements.
INVITATION :
Jany
BERRETTI-FOLLET: Contraintes d’une prose pour écrire
la théorie, en TEXTIQUE
Ecrire la
textique soumet
le théoricien à des contraintes spécifiques.
Il ne s'agit pas en effet de rédiger
un système théorique achevé dont seuls
resteraient en suspens les détails d'application: il
faut, armé de principes solides mais constamment offerts à
la réfutation, arpenter un domaine considéré
comme inconnu, délimité au fur et à mesure. Il faut
aussi transmettre — à tous utopiquement — ce qui, aperçu
par quelques-uns, les a conduits à forger entre eux un vocabulaire
à part.
En outre ce qui, déjà, peut
être considéré comme (au moins provisoirement)
de l'acquis, régi par une opposition entre l'orthologique
et le cacologique, établissant certaines lois du Bien
structural, réclame une prose qui obéisse à
ces lois.
A la lumière de ces réflexions,
on observera à la loupe la prose de Jean Ricardou en textique.
RÉVISION:
Daniel BILOUS: Concepts majeurs
Au cours des séances prévues, l'on
abordera, avec le souci de les faire bien saisir, et choisis dans
le massif théorique
Intelligibilité structurale
de l'écrit,
Évolution 2008, les concepts
suivants.
Première séance:
La textique - Ecrit (schème, comparution)
Textique: discipline animée d'un double
souci: d'une part, celui de concourir à une
théorie
unifiée des structures de l'écrit, quel soit-il,
sous ses divers
aspects; d'autre part, celui d'établir,
conjointement, une
théorie unifiée de l'activité
d'écriture, quelle soit-elle, sous ses divers
aspects
(ISE (08),
UF-4.1).
Ecrit: ensemble des
composants d'un
champ
rendu sensible au moins par un
effet différentiel (ISE
(08),
UF-4.5).
Schèmes:
zones différenciées
qui comparaissent dans le
champ qu'elles impliquent (ISE (08),
UF-6.3).
Comparution: opération universelle par
laquelle, selon la
schémisation, un
effet différentiel
impliquant un
champ y fait advenir toujours, sur sa
totalité, au moins deux
schèmes (ISE (08),
UF-6.10).
Deuxième séance:
Modes (strictoschémique, grammique, iconique, symbolique)
Strictoschèmes:
schèmes qui ne
produisent pas un
effet représentatif (ISE (08),
UF-6.7).
Mode schémique: manière d'être
d'un
écrit quand il est fait de
strictoschèmes
(ISE (08),
UF-6.9).
Grammes:
schèmes permettant de produire
un
effet représentatif en ce que, diversement liables,
par le relais d'une
spéciale association reçue,
aux sons d'au moins une langue selon certaines suites déterminées,
ils contribuent à permettre que s'ajoute, pour un récepteur
envisagé, au moins une autre idée à celles qu'on
peut se faire d'eux-mêmes (ISE (08),
UF-7.5).
Mode grammique: manière d'être d'un
écrit quand il est fait de
grammes (ISE (08),
UF-7.9).
Icônes:
schèmes permettant
de produire un
effet représentatif en ce que, sans
devoir être liés aux sons d'une langue, ils comportent,
pour un récepteur envisagé, au moins un caractère
déterminant de tel objet ou type d'objet distinct, concret ou
abstrait, réel ou fictif, vu sous un certain angle, dit
objet
concerné, et dont l'idée, ainsi, s'ajoute à
celles que l'on peut se faire d'eux-mêmes (ISE (08),
UF-7.11).
Mode iconique: manière d'être d'un
écrit quand il est fait d'
icônes (ISE (08),
UF-7.15).
Symboles:
schèmes permettant de
produire un
effet représentatif en ce qu'ils rendent
possible que s'ajoute, pour un récepteur envisagé, directement
ou indirectement, par le relais au moins d'une
spéciale association,
reçue ou convenue, au moins une autre idée à
celles que l'on peut se faire d'eux-mêmes (ISE (08), UF-7.17).
Mode symbolique: manière d'être d'un écrit
quand il est fait de symboles (ISE (08),
UF-7.21).
Troisième
séance: Structures (morphismes, chorismes) - Régimes
(représentation, métareprésentation)
Structure: relation ou famille de relations permettant
une cohérence de certains éléments, laquelle
se trouve liée, ainsi, à une
opérativité
capable de certains
effets (ISE (08),
UF-5.1).
Paramètre: aspect de l'
écrit
susceptible d'une
détection et d'une
structuration
(ISE (08),
UF-35.2).
—
paramètre phanique: apparence d'un
schème
sous ses divers aspects
—
hypoparamètre morphophanique: bordement
d'un
schème
—
paramètre chorique: situation d'un
schème
sous ses divers aspects
Orthoreprésentation:
opération
par laquelle des
schèmes permettent
correctement
que s'ajoute, pour un récepteur envisagé, au moins une
autre idée à celles qu'on peut se faire d'eux-mêmes
(ISE (08),
UF-8.5).
Ortho(méta)représentation:
opération
par laquelle un
écrit porte à tendanciellement
transparaître,
organiquement, de façon directe ou indirecte,
au-delà
de l'ortho(baso)représentation, les "moyens", matériels
notamment, qu'en son ordinaire procès celle-ci à la
fois requiert et, en son conjoint
effet occultatif, estompe (ISE
(08),
UF-12.5).
Quatrième
séance: Effectuation (orthostructure, cacostructure) - Pratique
(Ecriture, récriture)
Effectuations structurales: divers accomplissements
par lesquels s'obtient une
structure (ISE (08),
UF-5.36).
Orthostructure:
structure censée
correcte en sa logique (ISE (08),
UF-5.39).
Cacostructure:
structure censée
incorrecte en sa logique (ISE (08),
UF-5.40).
Ecriture: enchaînement des opérations
qui concourent à la venue d'un
écrit dans ses
diverses
structures (ISE (08),
UF-4.22).
Récriture: enchaînement des opérations
qui concourent,
à partir d'un écrit, à
la venue d'un nouvel
autre écrit dans ses diverses
structures.